Puis il devient concepteur à Saga Communication et journaliste à La Vie économique au Maroc, correspondant à Jeune Afrique[1], avant de fonder l'hebdomadaire francophone TelQuel[4].
N'hésitant pas dans ses éditoriaux à traiter aussi bien de la politique du Maroc, de la monarchie et de l'islam en passant par la banalisation des tabous et des interdits des sociétés islamiques.
En 2010, trois mois après la fermeture de Nichane, Ahmed Réda Benchemsi annonce, dans une édition de son magazine Telquel[5], sa démission du poste de directeur et éditorialiste de ce magazine. Il occupe depuis un poste de chercheur à l'université Stanford aux États-Unis[6].
Le , à la suite d'une plainte en diffamation, Ahmed Benchemsi est mis en examen à Paris[7].
« Les 50 personnalités qui font le Maroc - Société civile : Ahmed Reda Benchemsi. 35 ans, directeur de publication de Tel Quel et de Nichane », Jeune Afrique, nos 2545-2546, , p. 44 (lire en ligne)