Les Ahl Angad sont une alliance de divers clans arabes[2],[3] issues de la tribu des Dawi Ubayd'Allah, une des branches de Banu Maaqil[réf. nécessaire][4], qui nomadisaient sur le territoire de "l'Angad" et ont fini par prendre ce nom, Ahl Angad voulant dire Les Gens de l'Angad. Cette appellation est d'ailleurs plus usitée au Maroc; en Algérie on dit simplement "Angad"[5].
Les Ahl Angad d'Oujda étaient sous la domination religieuse des marabouts de Kenatsa[8].
Références
↑La seconde écriture est utilisée principalement à Oujda, qui veut dire "Ahl Anjad", mais d'autres personnes utilisent la première qui veut dire directement "Ahl Angad"
↑Victor Eugène Ardouin-Dumazet, Chez les arabes: l'Algérie politique et économique, à travers la province d'Oran, visite à l'empereur du Maroc, lettres sur l'insurrection dans le sud-oranais, Librairie Guillaumin, (lire en ligne)
↑Henri Aucapitaine, Archéologie. Notes sur le monument connu sous le nom de Tombeau de la chrétienne, province d'Alger, J. Rouvier, (lire en ligne)
↑Société de Géographie de la Province d'Oran, Bulletin trimestriel, (lire en ligne)
↑Maximilien Antoine Cyprien Henri Poisson de La Martinière et Napoléon Lacroix, Documents pour servir à l'étude du Nord Ouest africain: réunis et rédigés par ordre de M. Jules Cambon, Gouvernement général de l'Algérie, Service des affaires indigènes, (lire en ligne)
↑Charles de Foucauld, Reconnaissance au Maroc: 1883 - 1884, Société d'éditions géographiques, maritimes et coloniales, (lire en ligne)
↑ a et bMaximilien Antoine Cyprien Henri Poisson de La Martinière et Napoléon Lacroix, Documents pour servir à l'étude du Nord Ouest africain: réunis et rédigés par ordre de M. Jules Cambon, Gouvernement général de l'Algérie, Service des affaires indigènes, (lire en ligne)