Alors qu'il n'a que trois ans et qu'il est orphelin de père, il s'oppose vigoureusement, à l'adolescence, au souhait de sa mère de le voir embrasser une carrière de juriste ou d'architecte pour se consacrer entièrement à l'art de la peinture[2]. Il apprend les premiers rudiments de ce "métier" à l'Institut royal des beaux-arts de Naples (où il a pour professeurs Salvatore Fergola et Gabriele Smargiassi) et fréquente ensuite l'école publique de Giuseppe Bonolis à Largo Vittoria[2].
Ses sujets sont à la fois italiens et orientaux[3]. Selon le Bénézit, il est un remarquable paysagiste doté d'une grande sensibilité pour la nature[4].
(en) Armand Silvestre, The Gallery of Contemporary Art, (lire en ligne), p. 63.
(it) Angelo De Gubernatis, « Vertunni (Achille) », dans Dizionario degli artisti italiani viventi, pittori, scultori e architetti, (lire en ligne), p. 542-543.