Le , il marque en seconde mi-temps le premier essai (s'ensuivront cinq autres, le dernier à l'actif de Frantz Reichel) de la victoire face aux Allemands de Francfort[5].
En club, et contrairement à l'essentiel de la sélection olympique qui jouait au Stade français, Albert jouait au Cosmopolitan[6].
↑« Saga Olympique : 1900 ou les drôles de médailles », sur ffr.fr (consulté le ) : « La formation « nationale » était exclusivement parisienne, composée d’éléments du Racing CF et du Stade Français à deux exceptions près (Richmann et Albert, du Cosmopolitan). »