Cette protéine est formée de trois sous-unités, α, β et γ. Chacune de ces trois sous-unités présentent plusieurs isoformes (α1, α2, β1, β2, γ1, γ2, et γ3), qui sont codées par sept gènes dont certains subissent des épissages alternatifs, aboutissant ainsi à une diversité importante d’hétérotrimères[1].
Rôles
L'adénosine monophosphate (AMP) se fixe sur cette enzyme, l'activant et entraînant la phosphorylation de nombreuses autres enzymes, dont le TSC2 et le RPTOR[2], tous deux inhibant la voie du mTOR. Le taux d'AMP étant corrélé avec le statut énergétique de la cellule, l'AMPK est en quelque sorte un senseur énergétique.