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13e Note éditions est une maison d’édition française créée en 2008 par Éric Vieljeux[1], directeur éditorial, et Sandrine Belehradek, dont le siège social est situé à Paris.
Historique
Dès lors l’équipe inclut Sandrine Belehradek, directrice éditoriale (2008-2012), Adeline Regnault comme éditrice, Patrice Carrer, directeur d’ouvrages, Christian Kirk-Jensen, graphiste (Danish Pastry Design) et Arnaud Labory (attaché de presse).
Les points clés de la ligne éditoriale chez 13e Note sont :
littérature américaine au départ, mais ouverte sur le monde
beat et post-beat
autobiographie, quête du sens dans l’ivresse des sens, lose, underground, down and out, street, road
Le premier titre, Régime sec, de Dan Fante, recueil de nouvelles inédit, est paru en [2]. Le Livre des fêlures, 31 histoires cousues de fil noir, sorte de vitrine du projet éditorial, a été récompensé en par le prix de La Nuit du Livre[3]. La création d’une collection de poche à prix réduit, « Pulse » est lancée en . En difficulté, la maison d'édition suspend son programme avec la parution de deux pièces de théâtre de Dan Fante en [4]. À partir du son catalogue n'est plus commercialisé[5].
↑Dans Le Monde des livres, Florence Noiville a rédigé un article intitulé « Richard Burgin, l’inconnu célèbre » à l'occasion de la sortie de L'écume des flammes : « Né à Brookline, près de Boston, dans le Massachusetts, et fondateur en 1985 du magazine littéraire Boulevard, qu'il dirige toujours aujourd'hui, Richard Burgin est auteur compositeur - il chante, compose pour le piano, et on lui doit une demi-douzaine de CD de ]azz -, mais il est surtout auteur tout court. II a à son actif une douzaine de livres - dont deux romans, Rivers last Longer (2010) et Ghost Quartet (1999), non traduits en français, et de nombreux recueils de nouvelles, dont les éditions 13e Note nous donnent enfin aujourd'hui un aperçu. [...] Depuis son expérience à Chelsea, Eric Miles Williamson a lu Richard Burgin. Voici ce qu'il en dit aujourd'hui : « Burgin écrit sur le pire de nous-mêmes, sur nos psychopathes et nos cinglés cachés, et nous nous reconnaissons dans son œuvre. Nous sommes ravis d'entendre quelqu'un d'autre les révéler pour nous nos vies n'en deviennent pas seulement moins pénibles, mais nous sommes également rassurés de n'être pas aussi mauvais que nous craignions de l'être ». Voilà, c'est ainsi qu'agit la prose de Burgin comme une compresse de gaze sur nos ego dérangés. »