Óscar Álvarez est considéré comme un des meilleurs gregario du peloton cycliste colombien, spécialement sur terrain plat[3].
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Saison 2013
Óscar Álvarez poursuit avec l'équipe Élite de l'Orgullo paisa, pour la troisième année consécutive. Son directeur sportif, Gabriel Jaime Vélez, l'aligne pour le Tour de Colombie bien qu'il n'ait qu'un simple podium d'étape comme unique résultat pour 2013[4]. Travaillant pour ses leaders[5] et aidant sa formation à remporter le classement par équipes, il termine néanmoins l'épreuve au dix-neuvième rang[6], s'immisçant même dans le sprint massif de la dixième étape[7]. Dix jours plus tard, il s'impose pour la première fois depuis neuf mois. En gagnant la première étape de la Clásica Héroes de la Patria, il revêt le maillot de leader, chose inédite depuis neuf ans et sa victoire dans la Clásica Nacional Marco Fidel Suárez en 2004[8]. Encore deux fois dans les trois premiers aux arrivées d'étape, il s'adjuge le classement général final, le dimanche suivant, devançant deux coéquipiers[9]. Onze jours plus tard, il remporte la première étape de la Vuelta Marco Fidel Suárez, profitant de l'inattention de Jaime Castañeda, déjà occupé à célébrer sa victoire[10]. Il termine l'épreuve au quatrième rang[11]. Il finit son bel été par la Clásica de Marinilla. Dans la fugue du premier jour[12], son contre-la-montre[13] lui permet d'accéder au podium terminal[14].
Il termine sa saison du côté de Piedecuesta, lors de la première étape de la Vuelta de Santander. Il est impliqué dans une chute, avec Pedro Herrera, qui lui fait perdre quelques dents[15].
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Dans le courant du mois d'octobre 2016, il reçoit une notification de l'UCI[16], concernant un résultat positif à un contrôle médical effectué lors du Tour de Colombie 2016. Dans une interview, il reconnait la prise d'EPO et son entière responsabilité, dédouanant son équipe et son staff. Exposé à une lourde sanction, le coureur de 38 ans voit là la fin d'une carrière qu'il avait envisagé autrement. Il se repent de son erreur et espère pouvoir entrer dans la "vie civile" comme un simple quidam[17].