Elle est issue d'Antoine de Montety, né en 1637, à Saint-Georges-de-Luzençon, actuel département de l'Aveyron. Louis Albert de Montety, né en 1849 à Séverac (Aveyron), a été élu en 1885 et 1889 député monarchiste de son département natal. Paulin de Montety (1820-1898), ingénieur du génie maritime, a été à l'initiative de la naissance d'une œuvre sociale à Toulon en faveur des ouvriers de l'Arsenal, donnant naissance à un quartier populaire, longtemps connu sous le nom de « quartier Montety ».
Étienne de Montety fait ses études à l'université Paris X-Nanterre, où il obtient une maîtrise de droit et de sciences politiques et un DESS de sciences politiques[1].
Carrière
Directeur adjoint de la rédaction du Figaro et directeur du Figaro littéraire depuis 2006 (après la démission d'Angelo Rinaldi), il dirige les pages « Débats Opinions » du quotidien entre 2008 et 2012. Il assure une chronique quotidienne sur la langue française intitulée « Un dernier mot »[2].
Depuis 2008, il préside à Versailles le salon Histoire de lire, qui se tient chaque année à l'hôtel de ville et réunit des historiens et des romanciers.
Il est membre du conseil d'administration de l'association Lire pour en sortir, fondée par l'avocat Alexandre Duval-Stalla, qui promeut des initiatives en faveur de la lecture en prison.
↑« « L’Amant noir » par Étienne de Montety : de Versailles à Constantinople », La Croix, (ISSN0242-6056, lire en ligne, consulté le )
↑Jean Birnbaum, « « Du fanatisme », d’Adrien Candiard, et « La Grande Epreuve », d’Etienne de Montety : face aux fureurs de l’idolâtrie, la fragilité de la foi », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« Le Grand prix du roman de l’Académie française à Étienne de Montety pour « La Grande Épreuve » », La Croix, (ISSN0242-6056, lire en ligne, consulté le )