Il devient l'ami d'Henri Matisse, qu'il côtoya à Paris (à la faveur d'un voyage en Bretagne qu'ils firent avec Augustin Hanicotte) qui témoigne de l'influence de Wéry sur son utilisation de la couleur : « Je me liai bientôt avec un peintre nommé Wéry et je partis avec lui en Bretagne. Je n'avais alors que des bistres et des terres sur ma palette, alors que Wéry, lui, avait une palette impressionniste »[3].
Il s'installe à Cagnes-sur-Mer de 1910 à 1912[4].
Il a travaillé avec son père et Théophile Soyez à la réalisation de la châsse de saint Remi[5].
↑Xavier Girard, Les chefs-d'œuvre du Musée Matisse : Nice, Cimiez, Ville de Dijon ; Réunion des musées nationaux, Paris ; Musée Matisse, Nice, 1991, p. 26 (ISBN2-900462-57-6) (catalogue d'exposition).
↑Pierre Schneider et al., Henri Matisse, Ministère d'État, Affaires culturelles, Paris, 1970, p. 21 (catalogue d'exposition).
↑ a et bMassé, Pascal, « Un reliquaire orné d’émaux peints signés de Théophile Soyer. La châsse de saint Rémi de Reims, objet d'art monumental et exemplaire », Sèvres. Revue de la Société des Amis du musée national de Céramique, Persée, vol. 14, no 1, , p. 119–133 (DOI10.3406/sevre.2005.1487, lire en ligne, consulté le ).