Joseph Desmars (Opportuniste) élu depuis 1871 est mort en 1884.
Émile Normand (Opportuniste) est élu lors de l'élecion partielle qui suit. Il ne se représente pas en 1889.
Arthur Guyot (Opportuniste) élu depuis 1877 est mort en 1885.
Pierre Martin (Monarchiste) est élu lors de la partielle qui suit.
René Brice n'est pas candidat.
Conseiller sortant : Jean Guy (Opportuniste), élu depuis 1885.
Jean-Marie Maugère (Union républicaine) élu depuis 1877 est élu conseiller général en 1885. Lors de la partielle organisée pour le remplacer le 3 mai 1885, Jean Guy (Opportuniste) est élu.
Conseiller sortant : François Gaudeul (Monarchiste), élu depuis 1886.
Antoine Cotarmanac'h (Opportuniste) élu depuis 1871 décède en 1885. Lors de la partielle organisée le 13 décembre 1885 pour le remplacer, Henry Le Joliff (Monarchiste) est élu.
Henry Le Joliff (Monarchiste) est élu conseiller général lors du renouvellement de 1886. François Gaudeul (Monarchiste) est élu lors de la partielle du 12 septembre 1886.
Conseiller sortant : François Rouxin (Opportuniste), élu depuis 1886.
Hyacinthe Blaize de Maisonneuve (Monarchiste) élu depuis 1877 décède le 25 octobre 1886. Lors de la partielle du 21 novembre 1886 organisée pour le remplacer François Rouxin (Opportuniste) est élu.
Conseiller sortant : Henri Richard (Opportuniste), élu depuis 1886.
Eugène Poincheval (Opportuniste) élu depuis 1877 décède en 1886. Lors de la partielle du 11 juillet 1886 organisée pour le remplacer Henri Richard (Opportuniste) est élu.
Il doit y avoir au moins neuf conseillers par arrondissement, celui de Fougères ne comptant que six cantons, trois sièges sont ajoutés aux cantons les plus peuplés.
Il doit y avoir au moins neuf conseillers par arrondissement, celui de Vitré ne comptant que six cantons, trois sièges sont ajoutés aux cantons les plus peuplés.
Il doit y avoir au moins neuf conseillers par arrondissement, celui de Redon ne comptant que sept cantons, deux sièges sont ajoutés à chacun des cantons les plus peuplés.
Il doit y avoir au moins neuf conseillers par arrondissement, celui de Montfort ne comptant que cinq cantons, quatre sièges sont ajoutés aux quatre cantons les plus peuplés.