The collection is discussed, among other works of Schaeffer's, in chapter two of Robert Martial's Pierre Schaeffer, des transmissions à Orphée.[2]
In this text, some have suggested, Schaeffer imagined a computerized music studio:
La cohérence de cette perspective nous mène […] aux machines de la cybernétique. Seules en effet, des machines de ce genre (probablement de plusieurs tonnes et coûtant des centaines de millions!), que des circuits oscillants dotent d’une certaine mémoire, permettront le jeu infini des combinaisons numériques complexes qui sont la clé de tous les phénomènes musicaux.
(The coherence of this perspective leads us to cybernetic machines. Indeed, only machines of this type (probably weighing several tons and costing hundreds of millions!), with oscillating circuits equipped with a certain memory, will permit endless play with complex numerical combinations, which are the key to all musical phenomena.)
— (Schaeffer 1952,
p.119, quoted in Delalande's "D’une technologie à l’autre" -see below).
Contents
DÉDICACE
1ER JOURNAL, 1948–1949
2E JOURNAL, 1950–1951
3 EXPÉRIENCE CONCRÈTE, 1952
4 ESQUISSE D'UN SOLFÈGE CONCRET
Notes
^Schaeffer, Pierre. À la recherche d'une musique concrète. Paris, Éditions du Seuil, 1952. Searchable text available (to members of subscribing institutions) at the Project for American and French Research on the Treasury of the French Language (ARTFL).
^Martial, Robert. Pierre Schaeffer, des transmissions à Orphée. Paris: L'Harmattan, 1999. (ISBN2-7384-7975-8)
References
Delalande, François. "D’une technologie à l’autre." Enjeux et initiatives. 6-10.