The family's reputation at the French court began when Jean-Louis de Nogaret de La Valette was admitted as one of King Henry III's mignons. From then on, the family held a number of high offices, and was elevated to the title of ducal in 1581.[citation needed]
Pierre de Nogaret (?-1553), seigneur of La Valette, served in the Italian wars under King Fancis I, and married Marguerite de l'Isle, dame of Cazaux and of Caumont, daughter of Jean, seigneur of Saint-Aignan and Catherine de Galard, on April 21, 1521.;[4] they had the Château de Caumont built by Toulouse architect Pierre Bachelier. Their sons:
Jean-Louis de Nogaret (1554-1642), duke of Épernon and of La Valette, colonel general of the infantry and admiral of France, knight of the Order of the Holy Spirit (received on December 31, 1582). Along with the Duke of Joyeuse, he was one of King Henry III's mignons. Governor of La Fère, State Councillor, First Gentleman of the King's Chamber, Governor of Boulonnais and Loches, Metz and Pays messin, Lyon Citadel, Governor of Angoumois, Aunis, Saintonge, and Provence, Military Governor of Guyenne, Governor of Normandy, Caen, and Havre de Grâce. He was feared by Cardinal Richelieu. Every morning at six o'clock, until the French Revolution, a small bell rang out Épernon's cries for the repose of his soul.[5] Married to Marguerite de Foix-Candale, with three legitimate sons and one illegitimate son:
Bernard de Nogaret de La Valette (1592-1661), marquis then duke of La Valette, colonel general of the infantry, governor of Guyenne and Burgundy. In 1622, he married Gabrielle-Angélique de Bourbon, natural daughter of King Henry IV and Henriette de Balzac, in Lyon, France:
Louis-Charles de Nogaret de Foix (1627-1658), duke of La Valette and of Candale, peer of France, colonel general of infantry, governor and lieutenant general of Burgundy, Bresse, and Auvergne. No marriage.
Écartelé : au I, contre-écartelé en 1 et 4, de gueules au château d'or ouvert et ajouré d'azur (de Castille), en 2 et 3 d'argent au lion de pourpre armé, lampassé et couronné d'or (de León) ; au II, écartelé en 1 et 4, de gueules aux chaînes d'or posées en orle, en croix et en sautoir, chargées en cœur d'une émeraude au naturel (de Navarre), en 2 et 3 écartelé en sautoir d'or aux quatre pals de gueules (d'Aragon) et d'argent à l'aigle de sable (Hohenstaufen) (le tout de Sicile) ; au III contre-écartelé en 1 et 4 d'azur aux trois fleurs de lys d'or et en 2 et 3 de gueules (d'Albret) ; au IV parti en a, d'azur semé de fleurs de lys d'or à la bande componée d'argent et de gueules (d'Évreux), en b, parti d'argent à un noyer arraché de sinople et de gueules, à la croix d'or, alaisée, vidée, cléchée et pommetée de douze pièces ; au chef de gueules chargé d'une croix potencée d'argent (de Nogaret) ; sur-le-tout, écartelé en 1 et 4 d'or aux trois pals de gueules (de Foix) en 2 et 3 d'or aux deux vaches de gueules, accornées, colletées et clarinées d'azur, passant l'une sur l'autre (de Béarn).[7]
On trouve aussi
Écartelé: au 1, contre-écartelé: a. et d. de gueules à un château de trois tours d'or (Castille); b. et c. d'argent au lion de gueules, couronné d'or (Léon); au 2, contre-écartelé: a. et d. de gueules aux chaînes de Navarre d'or (Navarre); b. et c. écartelé en sautoir, d'or à quatre pals de gueules, et d'argent à l'aigle de sable (Aragon-Sicile) ; au 3, de gueules plein (d'Albret) ; au 4, parti: a. d'azur semé de fleurs-de-lis d'or, à la bande componnée d'argent et de gueules, brochant sur les fleurs-de-lis (Evreux); b. à un noyer de sinople, et au chef de gueules, ch. d'une croix potencée d'argent (Nogaret). Sur le tout écartelé: a. et d. d'or à trois pals de gueules (Foix); b. et c. d'or à deux vaches passantes de gueules, l'une sur l'autre, accornées, colletées et clarinées d'azur (Béarn).[8]
Écartelé: au I. parti: au 1, contre-écartelé : a. et d. de gueules à un château de trois tours d'or (de Castille) ; b. et c. d'argent au lion de gueules (de León) ; au 2, de gueules, aux chaînes de Navarre d'or (de Navarre), au II. parti : au 1, d'or, à quatre pals de gueules (d'Aragon) ; au 2, écartelé en sautoir : a. et d. d'or à quatre pals de gueules (d'Aragon) ; b. et c. d'argent à l'aigle de sable (Hohenstaufen) (le tout de Sicile), au III. parti: au 1, burelé de sable et d'or, au crancelin de sinople, brochant en bande (de Saxe) ; au 2, d'or plein, au IV. parti : au 1, contre-écartelé : a. et d. d'azur à la fasce d'or, acc. de trois têtes de lion ou rencontres de lions (voir de chats ??) du second (de Pole ?) ; b. et c. d'azur à la bande d'argent, ch. de trois vols de sable, posés dans le sens de la bande ; au 2, contre-écartelé : a. et d. d'or à trois pals de gueules (de Foix) ; b. et c. d'or à deux vaches passantes de gueules, l'une sur l'autre, accornées, colletées et clarinées d'azur (de Béarn). Sur le tout parti : a. d'argent à un noyer de sinople, terrassé du même (de Nogaret) ; b. de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée d'or (de L'Isle-Jourdain), et au chef de ce surtout de gueules, ch. d'une croix potencée d'argent. (d'après Rietstap : Sur le tout du tout d'azur à une cloche d'argent, bataillée de sable (Algoursan).
Écartelé : aux I et IV, parti : au 1, d'argent à un noyer de sinople (de Nogaret), de gueules à la croix de Toulouse d'or (de L'Isle-Jourdain), à un chef de gueules chargé d'une croix potencée d'argent sur le tout ; aux II et III, contre écartelé : aux 1 et 4, d'or, à trois pals de gueules (de Foix), aux 2 et 3, d'or à deux vaches passantes de gueules, l'une sur l'autre, accornées, colletées et clarinées d'azur (de Béarn).[9]