In 1875 Victor Guérin traveled in the region, and noted: "Bekousta, a village of 200 inhabitants, Maronites and United Greeks; it is located on a high hill, between the Oued Naser to the south and the Nahr el-Aouleh to the north.The small church of Bekousta, dedicated to Saint Joseph, contains in its construction a number of ashlars of ancient appearance."[2]
The village remains entirely Maronite and Greek Catholic into the modern day.[3]
^Guérin, 1880, .p. 509-510: "Après avoir gravi les berges septentrionales de cet oued, j'atteins, à dix heures vingt minutes, Bekousta, village de 200 habitants, Maronites ou Grecs unis; il est situé sur une haute colline, entre l'Oued Naser au sud et le Nahr el-Aouleh au nord. Ce dernier cours d'eau est le Bostrenus de l'antiquité, que mentionne le poète Denys le Périégète dans le passage suivant []La petite église de Bekousta, dédiée à saint Joseph, renferme dans sa construction un certain nombre de pierres de taille d'apparence antique."